FRANÇOIS DE LAGAUSIE
Les échanges inégaux
de temps de travail et l'inflation
Marxisme et
recherche
théorique en Economie
(Sous-titre
ayant été
oublié par l'éditeur)
ISBN 2-7157-0312-0 Avril 1978
352 pages
Editions Anthropos
12, Avenue du Maine 75015 - Paris
Quatrième de couverture :
Il s'agit d'une recherche théorique
qui, après une analyse critique du Capital, propose de généraliser la
théorie de la plus-value et de tracer les grandes lignes d'une Economie
du temps de travail.
Telle qu'elle a été définie par Marx,
la Valeur est un concept idéaliste au sens marxiste du terme. D'où son
principal défaut : l'impossibilité de la calculer, c'est-à-dire de s'en
servir.
Il faut revenir aux réalités
quotidiennes : le prix des choses, le temps de travail concret
nécessaire à les produire, et étudier comment varie le rapport entre les
deux sous l'influence de différents facteurs, notamment les luttes
sociales.
Vous pouvez télécharger ici les
trois principaux extraits de ce livre :
Le chapitre :
Introduction :
Première partie :
Les contradictions d'une théorie idéaliste :
La Première partie de l’ouvrage
est une analyse critique du Capital. Cette relecture du Capital
ne doit pas être seulement critique. Elle est indispensable car en
suivant le raisonnement de Marx, en analysant les difficultés qu'il
rencontre et la manière dont il les surmonte, nous trouverons tous les
éléments qui ouvrent la voie à une nouvelle formulation plus proche de
la réalité : une définition dialectique de la Valeur économique
(page 62).
Deuxième partie :
La ligne générale d'une économie du temps de travail :
La Deuxième partie propose de
généraliser la théorie de la plus-value et de tracer les grandes lignes
d'une Economie du temps de travail. Elle définit en particulier
le concept d’Ouvraison au Chapitre 6, p.38. Et dans la Conclusion
le rappel du schéma définissant le concept de Valeur économique.
Vous pouvez lire en ligne ci-dessous :
INTRODUCTION
Les expériences négatives sont parfois
plus positives que les positives.
Lorsqu'une théorie entre en contradiction
avec la réalité et ne permet pas de
résoudre un problème, bref, lorsqu'une théorie ne marche pas,
l'esprit rigoureux est obligé de faire un effort de réflexion. Par
contre il faut avoir quelque
«dérangement du caractère» pour remettre en question les idées qui
donnent satisfaction.
De
ce point de vue, l'inconvénient du marxisme est son
succès. Pourquoi contester un homme
qui, il y a plus d'un siècle,
en plein essor du capitalisme, découvre presque
tous les vices de ce système et
annonce sa disparition par
suite d'une incompatibilité entre le caractère social, collectiviste,
de la grande production industrielle et le maintien de la
propriété privée de ces nouveaux . et gigantesques moyens de production,
un homme qui voit dans les exploités
une force sociale capable de créer une société nouvelle
et fonde à cette fin l'Internationale ?
Devant une analyse, une prévision et une activité aussi
remarquables, il n'y a place que pour l'admiration. Aussi il ne
viendrait pas à l'esprit d'un militant de chercher
des poux sur la
grosse tête de Marx.
L'idée que la science progresse dans
une incessante dialectique entre les
concepts et les réalités du monde qui nous entoure est familière
aux marxistes. La réciproque, celle
que la science ne progresse pas lorsque cette dialectique
est bloquée, est beaucoup moins comprise. Parce que Marx a écrit
: « il ne s'agit plus d'interpréter
le monde mais de le transformer », bien des disciples pensent
que le travail d'interprétation est terminé depuis un siècle et
qu'il suffit d'agir. La réflexion théorique se limite le
plus souvent à l'exposé clair et
cohérent de la pensée du
maître, à dissiper quelques confusions nées des obscurités
d'une œuvre inachevée, et le seul
progrès véritable de cette
réflexion ne se réalise que dans l'application des principes. La
recherche appliquée, tel est le domaine où se manifeste la pensée
marxiste vivante. Par une curieuse contradiction,
la dialectique semble canalisée,
enfermée à un certain niveau.
L'ouvrage que le lecteur a entre les mains a pour ambition de
montrer que la recherche théorique fondamentale
est aujourd'hui une impérieuse nécessité pour les
marxistes.
Le
chercheur scientifique découvre parfois, au hasard d'une expérience, que
la théorie admise ne lui donne pas
une explication acceptable. Il a dans
sa tête un outil intellectuel qui se révèle mal affûté, mal emmanché,
inutilisable pour atteindre
l'objectif qu'il poursuit. Il lui reste deux solutions :
constater l'échec et en rester là ou fabriquer
un nouvel outil plus convenable.
S'il a la chance que cette
fabrication ne lui donne pas trop de mal c'est tout naturellement
qu'il choisit la deuxième solution.
L'expérience qui a servi de point de départ à une remise
en question de l'œuvre de Marx et à
son développement sur de
nouvelles bases plus conformes à la réalité, se situe
dans le domaine économique.
La
place que tient la théorie de la valeur et de la plus-value
dans l'œuvre de Marx est bien connue. C'est le fondement
de sa description du fonctionnement de l'économie capitaliste et
la base du projet de création d'une société
socialiste.
Or, il est un fait anormal pour une
œuvre scientifique, sur lequel intention n'a pas été assez attirée :
voici une théorie qui définit la valeur des marchandises, la valeur de
la force de travail et, par différence, le travail non payé, la
plus-value, cependant personne n'utilise ces définitions pour les
calculer, les étudier, tracer des courbes montrant que la plus-value a
augmenté ou diminué, etc. Lorsque l'on veut décrire la situation des
ouvriers, on cite des chiffres de salaires, de prix, de profits, de
temps de travail, mais pratiquement jamais de plus-value.
Il y a donc un fossé qui semble
infranchissable entre le concept, celui de valeur, et la réalité qui est
constituée de prix, de temps de travail. C'est de ce fait expérimental
que nous allons partir pour établir un mouvement dialectique, une
opposition motrice entre la réalité et les notions théoriques
fondamentales.
Dans une première partie, nous allons
relire attentivement le Capital en mettant exclusivement en évidence la
logique de la construction afin de vérifier s'il y a bien impossibilité
de calculer une valeur quelconque et d'en rechercher les raisons.
Certains auteurs suggèrent que cette
impossibilité tient aux défauts de l'appareillage statistique
«bourgeois»; II n'en est rien. Si, comme le dit Marx, la valeur d'une
marchandise est proportionnelle à la durée du travail nécessaire à la
produire, il suffit de connaître cette durée pour l'évaluer. Or, de
nombreuses études publiées ces dernières années calculent les temps de
travail dépensés dans toute l'économie nationale pour produire les
différentes catégories de marchandises et de services. Il n'y a aucune
difficulté à calculer, par exemple, que le manœuvre de l'industrie
travaille pendant un temps double de celui nécessaire à produire sa
consommation et celle de sa famille. On prouve ainsi mais dans une autre
formulation, ce que Marx cherchait à démontrer : l'existence d'un taux
de plus-value de 100%.
La difficulté n'est donc pas d'ordre
pratique mais conceptuel. Le problème est posé par Marx de telle façon
qu'il est insoluble. L'impossibilité d'un calcul tient au fait que la
notion de valeur est devenue dans son exposé un concept métaphysique au
sens précis du terme : une grandeur qui a une apparence physique mais
qui est produit de l'imagination. C'est la nature insaisissable de la
valeur qui empêche de la calculer.
Cette relecture du Capital ne doit pas
être seulement critique. Elle est indispensable car en suivant le
raisonnement de Marx, en analysant les difficultés qu'il rencontre et la
manière dont il les surmonte, nous trouverons tous les éléments qui
ouvrent la voie à une nouvelle formulation plus proche de la réalité.
Tout chercheur est dépendant des connaissances de son temps. Marx
apprend l'Économie en lisant les Physiocrates
et les maîtres de l'école classique
anglaise. Il trouve chez eux les matériaux de sa construction.
C'est Ricardo qui commence ses Principes de l'Economie Politique et de
l'impôt par ces mots : «La valeur d'une marchandise, ou
la quantité de toute autre
marchandise contre laquelle elle
s'échange, dépend de la quantité
relative de travail nécessaire
pour la produire.
Pour justifier ce principe, il faut répondre à un certain
nombre d'objections. La première est
que le prix courant d'une marchandise est très variable et n'est
visiblement proportionnel que de loin avec la quantité de travail
nécessaire à la produire. Pensons, par exemple, au prix du pétrole.
Aussi, le premier pas consiste à imaginer un concept abstrait
: la valeur, distincte du prix constaté chaque jour sur
le marché. De ce fait, le problème fondamental pour tous les
économistes de cette école est d'expliquer les écarts entre le prix et
cette valeur théorique.
Pour y parvenir, il faut suivre un
raisonnement par étapes, en
recensant les différentes questions auxquelles
il faut répondre. On peut dire que
toutes les questions que pose
Ricardo se retrouvent chez Marx et, parfois, les réponses
sont les mêmes ou n'en sont que des variantes.
La
théorie marxiste de la valeur est enseignée aujourd'hui
comme la grande Révélation. C'est
certainement la partie la
moins intéressante du Capital et celle qui est le moins
marxiste. Engels voyait plus juste
quand il parlait de « Loi
ricardienne ».
Le génie de Marx est ailleurs.
Paradoxalement, il va réaliser un
progrès décisif en accentuant les défauts de la théorie de Ricardo, en
la poussant à la limite et en la faisant
basculer dans le vide.
Après avoir transformé la valeur,
telle que l'avaient définie les
Classiques, en un «cristal» de temps de travail
contenu dans la marchandise, il va
conclure dans le troisième livre du Capital que la concurrence entre
capitalistes détache, le prix
d'une manière permanente, de cette mystérieuse valeur. Aucune
marchandise n'est vendue à sa valeur.
Engels note dans sa préface que cette
conclusion est l'apport original de Marx à la science économique. C'est
profondément exact. Marx s'écarte ainsi avec évidence du principe
énoncé par Ricardo. Mais au lieu de considérer la théorie
comme achevée après la pose de cette dernière pierre, il serait
préférable d'être un peu plus attentif au résultat obtenu.
En
clair, si les marchandises ne sont pas vendues à leur
valeur, leur prix n'est pas proportionnel au temps de travail
nécessaire à les produire. Le rapport entre le temps
de travail et le prix est variable.
Le point de départ d'un développement
du marxisme sur de nouvelles bases
se trouve ici, dans ce renversement théorique anti-Ricardo. Que
le rapport entre le temps de travail
et le prix soit variable signifie que, dans tout échange,
les temps de travail échangés ne
sont pas égaux mais inégaux, il y a des perdants et des gagnants,
chacun reçoit plus ou moins de temps
de travail qu'il n'en donne. Il apparaît alors que les luttes sociales ont pour objet de répartir les
temps de travail au service des différentes classes et groupes sociaux :
combien de temps de travail pour produire
ce qui est accordé à la consommation des ouvriers, des employés, des
fonctionnaires, des agriculteurs ou des retraités, des malades ?
Combien de temps de travail pour les
capitalistes ? Tel est l'enjeu de ces luttes.
Marx ne tire pas cette conclusion de
ses recherches mais elle s'inscrit en
droite ligne dans leur prolongement. Il est trop imprégné de la
science économique de son temps pour
opérer un renversement aussi complet. Tout le Capital est
construit avec les matériaux de l'école classique et Marx n'a pas le
recul suffisant pour saisir toute l'importance
de ce qu'il croit pouvoir ajouter
sans discordance à ces matériaux. Il ne voit pas la profondeur de
la contradiction entre sa démarche
et celle de Ricardo, entre l'école marxiste
et l'école classique.
Si
l'on veut développer l'œuvre de Marx en lui donnant une assise
matérialiste, l'attention doit être portée sur l'étude du rapport
variable entre la valeur économique
- au sens banal de prix, de salaire, de revenu - et le temps de
travail, c'est-à-dire entre deux faits objectifs, mesurables. La
démarche scientifique consiste à rechercher tous les facteurs qui
modifient ce rapport. Ce sera l'objet de la
deuxième partie.
Ces facteurs sont en effet multiples.
Mais il ne s'agit pas de les associer en un ensemble hétéroclite : un
peu de marginalisme, un peu de marxisme, un peu de Ricardo,
un peu de cybernétique.
L'éclectisme, le pragmatisme sont à la mode dans tous les pays y compris
les pays socialistes. En
faisant encore appel au marxisme, plus particulièrement au
matérialisme historique, il sera proposé une synthèse
qui paraît cohérente.
La troisième partie sera constituée
d'une application à l'étude de
l'inflation. La quatrième, d'études sur la baisse
du taux de profit et sur la mesure
de la croissance économique.
Tout progrès dans la compréhension des relations économiques met
en mouvement l'ensemble du marxisme. Il
y sera fait allusion au cours de
l'exposé. Il aurait été intéressant
de faire une étude systématique de ces développements, notamment dans le domaine de la sociologie et de
la théorie politique. Mais de telles
études exigent des recherches
importantes et nécessairement collectives. Avant de s'engager dans cette voie, la vérification, la critique des résultats
obtenus au cours d'une première étape est indispensable.
Il n'y a qu'un point sur lequel un
développement important mais cependant incomplet, a été nécessaire. Il
s'agit du matérialisme historique. On
sait que dans la conception
proposée par Marx deux niveaux sont à distinguer : l'infrastructure
économique, dans laquelle sont inclus
les rapports de production, et la
superstructure juridique, politique et idéologique. L'analyse du
Capital à laquelle nous allons
procéder conduit à donner aux rapports sociaux et en particulier aux
forces respectives des différentes classes
et groupes sociaux, une importance que le marxisme admet dans la
pratique mais pas dans la théorie. Il y a en effet quelque
contradiction à déclarer que les rapports
de production sont indépendants de la volonté des hommes et à
préparer en même temps une révolution pour les
changer.
Pour que le matérialisme historique
soit un bon outil de recherche, son articulation doit s'effectuer selon
trois niveaux ayant chacun ses mécanismes spécifiques : une
infrastructure économique, une structure sociale et une
superstructure idéologique.
Comme nous le verrons, cette approche selon trois niveaux permet de
replacer les rapports de production dans
l'ensemble des rapports d'échange
qui ont lieu dans la société.
Les phénomènes sociaux retrouvent ainsi leur homogénéité avec leurs lois propres. Certes, les hommes ne peuvent échapper
aux contraintes matérielles qui se développent au niveau
de l'infrastructure économique. Ils ne peuvent en diminuer
le poids que par un lent effort d'accumulation de moyens et de
connaissances. Mais c'est dans leurs relations sociales
que se décident l'orientation de la
production et sa répartition
selon des modalités qui ont toujours été extrêmement variées et
qui sont souvent mais pas exclusivement, des
techniques de contrôle et
d'asservissement aux mains
d'une classe dominante.
Au
niveau de la structure sociale, les hommes ont une
marge de manœuvre, un champ de
possibilités, qui n'apparaissent pas dans la théorie économique proposée par Marx et dont tous
les marxistes ont fait l'heureuse ou l'amère expérience.
Les idées importantes sont toujours
des idées claires et simples. Les échanges économiques sont pour chacun
de nous une pratique quotidienne. Leur ancienneté s'évalue en
millénaires. C'est pourquoi l'emploi d'un langage accessible à un
lecteur non spécialiste doit être possible
pour en parler. L'auteur s'est
efforcé d'y parvenir.
Bibliographie
Cette bibliographie comprend :
- les publications des auteurs cités
dans le texte,
- quelques ouvrages de vulgarisation,
- et des études se rapportant aux
sujets traités.
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Librairie générale de droit et de jurisprudence 1953.
ZARIFIAN P. :
Inflation et crise monétaire, Editions sociales 1975.
ERRATA
(principales corrections de l'édition d'origine)
Couverture : Il manque le sous-titre :
Marxisme et
recherche
théorique en Economie
Page 17 : avant dernière ligne, lire : une voie
opposée.
Page 41 : supprimer la virgule entre "skilled" et
"labour"
Pages 55, 60, 66 : remplacer "dialectique formelle"
par "dialectique artificielle"
Page 61 : lire : ... cet ouvrier travaille
pendant ...
Page 86 : avant dernier alinéa, lire : les
informaticiens (au lieu de les informations)
Page 92 : lire : l'activité des créateurs ...
Page 94 : dernier alinéa, lire : ... l'employé des
services commerciaux ...
Page 101, 102 : lire : ... complexité ...
Page 109 : dernier alinéa, lire : ... ses fluctuations
...
Page 150 : dernier alinéa, lire : ... il suffit de la
juger ...
Page 154 : deuxième alinéa, lire : L'augmentation de
la productivité à la suite d'interventions techniques, donne naissance à
la division du travail et de la consommation, et cette division
nécessitant une multiplication des échanges de certaines valeurs, crée
une liaison entre ces valeurs et le temps de travail.
Page 158 : lire : ... le poids du dernier diminue ...
Page 189 : manque les traits du tableau
Page 194 : lire :
Page 206 : lire :
Page 236 : lire :
Page 240 : avant dernier alinéa, lire : ... moyen de
quantifier ...
Page 244, 280, 288 : lire :
FRANÇOIS DE LAGAUSIE
Les échanges inégaux de temps de
travail et l'inflation
Marxisme et
recherche théorique
en économie
(Sous-titre
ayant été oublié par
l'éditeur)
ISBN 2-7157-0312-0 1978
Référencé aux
Editions Eyrolles
Editions anthropos
12, Avenue du Maine 75015 - Paris
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